Même dans le catastrophisme, l’humain ne s’affranchit pas de son anthropocentrisme. Sa grande prétention le pousse à se rendre responsable de la fin du monde dans tous les scénarios qu’il envisage.
Même dans le catastrophisme, l’humain ne s’affranchit pas de son anthropocentrisme. Sa grande prétention le pousse à se rendre responsable de la fin du monde dans tous les scénarios qu’il envisage.
Ça doit être dur à vivre!
Même si c’est sombre, content de te lire.
Merci Guillaume, content de te retrouver ici.